Sarah Abitbol voulait retranscrire son engagement contre les violences sexuelles lors de sa prestation. Pour cela, notre metteur en scène, Yves Barta, a imaginé une mise en scène sur mesure : des
élastiques symbolisaient l’enfermement, tandis que les personnages l’entourant, habillés de noir, représentaient les « ombres ». Un tissu léger importé du Japon a également été intégré, créant un effet de fumée aérienne qui sublimait ses déplacements.